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La venderesse était Madame Anne-Marie PACEMAKER, retraitée, veuve en premières noces et non remariée de Monsieur Roman OSWALD (avec un seul « n » et pas de « e » à la fin). Originairement, cet immeuble appartenait à Monsieur André BEUCLER, négociant, demeurant 1, place des p’tit-z’obs à Paris, qui l’avait acquis auprès de la Société Immobilière de la Rue du Crime, dont le siège social était à Tours, le 17 septembre 1982. A son décès en 2022, Monsieur André BEUCLER avait 4 enfants : Jacob, Alfred, Marguerite et Roman. Alfred céda ses parts à Marguerite, qui les céda à Roman, sous la forme d’une somme d’argent d’une part, d’une rente viagère d’autre part. Roman détenait déjà la moitié du bien. Marguerite, décédée le 29 mai 1970, institua sa belle-sœur, Madame veuve Roman OSWALD pour sa légataire universelle. Roman OSWALD, né à Zurich-sur-Stained en Suisse le 31 mars 1989, était plongeur au Snack-Bar Le Dalida (Trappes, 78 « reprézent »). Il est décédé le 17 novembre 2047 d’un surplus d’eau dans les sinus. Voici pour Anne-Marie PACEMAKER et la propriété SUTER ! Il semblerait donc, si la plaque du parc porte la mention du nom de "Mme PASEMAKER", que son nom ait été mal orthographié. Une autre possibilité est que toutes les pièces notariales et le cadastre lui-même aient oublié un "c" dans le nom de la venderesse… Enfin, c’est une drôle d’histoire tout de même.